L’interphone


Certaines entreprises ont tellement peur d’être cambriolées qu’elles installent des alarmes ultra sophistiquées. Logique, me direz-vous. Nous en avons fait les frais pas plus tard que la semaine dernière…

La scène se passe au premier étage d’un immeuble parisien. Après l’épreuve “de la porte que l’on croit fermée et qui est en réalité ouverte”, nous sommes face à l’épreuve “l’interphone qui ne sonne pas même quand tu appuies sur le bouton appel”. A première vue, l’interphone ne sert qu’aux employés ayant enregistré leurs empreintes digitales dans la machine. Lumière verte et tout, comme dans les films de science fiction. Après plus d’une demi-heure passée sur le palier, un éclair de lucidité traverse Lili. Elle décide d’appuyer sur le rectangle lumineux que je prenais pour un porte-nom. Et là : ça sonne et la porte s’ouvre.

30 minutes à rester devant une porte comme deux quiches, ça forge le caractère !

L’interphone n’en était pas un, mais une pointeuse dernier cri rien que pour les entreprises… Nous étions totalement à côté de la plaque.

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