Lu et pas approuvé : Maman a tort – Michel Bussi


Avis

Le résumé attrayant cache une œuvre ubuesque. Certes, le roman évoque les questions d’identité (afin de se construire en tant que personne), la mémoire des enfants, mais pousser l’histoire jusqu’aux affaires criminelles qui deviennent invraisemblables lorsqu’elles sont reliées entre elles était inutile. Michel Bussi construit son intrigue autour des “si”. Il frôle la science-fiction. À se demander quel lapin il sortira du chapeau au chapitre suivant. Chaque nouvelle révélation pourrait être ponctuée par l’expression “comme par hasard”. Lassant.

Résumé

Rien n’est plus éphémère que la mémoire d’un enfant… Quand Malone, trois ans et demi, raconte que ses parents ne sont pas ses vrais parents, Vasile, psychologue scolaire, le croit. Il cherche, en vain. Il entraîne la commandante Marianne Augresse dans cette quête de vérité. Pas à pas, ils découvrent l’indicible. De manipulations en fausses pistes, auront-ils le temps de découvrir la véritable identité du petit garçon avant que sa mémoire ne s’efface ?

L’auteur

Géographe et professeur à l’université de Rouen, Michel Bussi est également un romancier à succès. Son premier roman, Code Lupin, sorti en 2006, a reçu de nombreux prix, premiers d’une liste qui s’allonge à chaque nouvelle publication de l’auteur. Maman a tort, son dixième roman, s’est vu décerner le Prix Sang d’encre des lycéens, en 2015. L’ensemble de ses romans sont publiés aux Presses de la Cité.

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